Abbyse du Haul.

« Relâche toi. »
→ Pré, mercredi 06.



Longe dans la main, je tenais une incroyable jument, digne des plus grands concours de beauté. Elle était là, présente devant moi, ses grands yeux noirs qui ne cessaient de me fixer. Elle était belle, elle était magnifique. Elle était comme une plume qui n'avait qu'une envie : s'envoler. Je sentais qu'elle commencé à bouillir, elle savait que nous nous dirigions vers les prés. Je lui caressai délicatement l'encolure, j'étais très contente d'être venue finalement au haras. C'était une belle journée qui s'annonçait, une journée spéciale dada.

« Et voilà ! »

Nous arrivions justement au niveau des prés, parsemés de chevaux. J'aimais beaucoup ce haras, il y avait un certain charme qui ne se dégageait pas des autres. Doucement, j'ouvris l'une des barrières d'un petit pré d'un hectare, et fis entrer la jument noire. Abbyse tirait, elle voulait se libérer et me le faisait comprendre. J'essayai quant à moi de la calmer un peu, en lui flattant régulièrement sa douce encolure fraîchement brossée. Puis, je la mis face à la barrière que je venais d'ouvrir et la laissai s'échapper, en détachant rapidement le licol.

Santé et Moral + 4

Je t'offre 3 points.
EDIT: je n'ai pas peux ajouter les points.